Élise Libertine 7 (LAir Du Pacifique. Fin)
Élise libertine 7 (Lair du Pacifique. Fin)
Après deux mois sans nouvelle Mac débarque à la maison.
Il embrasse Élise : « je suis pressé ! Juste pour vous dire ce weekend ma femme va dans sa famille donc je viens dès son départ vendredi soir et je reste jusquà dimanche ! Pas de problème la choune? ».
« Non ! On tattend mais les s seront là !»
Lui : « ils connaîtront mieux le tonton quils ont vu lautre jour et on sarrangera. Samedi soir nous irons à la garçonnière fait les garder !»
Le vendredi soir il arrive vers 18h00 avec une énorme langouste et des cigales de mer :
Bonjour tout le monde, la choune met ça au frais. Il lembrasse et lui donne les crustacés.
Les gamins sautent autour fait voir ! Élise : « je ne sais pas cuisiner ces bestioles » lui « je men chargerai ».
Nous passons à table il se place près de mon épouse et profite de la moindre occasion pour la caresser et lembrasser affectueusement sur les joue. Dès les s couchés il rejoint élise dans la cuisine lui retire sa culotte lembrasse en lui caressant le clito. Chose nouvelle ce soir il est particulièrement doux et tendre nous parlons de notre séjour. Vers 23h30 nous allons nous coucher tous les trois dans le même lit. La choune lui a prodigué les caresses demandées. Lui la prend à plusieurs reprise dans les deux trous avec douceur. Cette nuit elle a été sienne sans contrainte comme des amants ordinaires sans injures ni brutalité. La journée du samedi est très agréable à 18h30 la baby -sitter arrive va dans la cuisine pour faire manger les s nous disons au revoir. Elise va se changer et se maquiller. Elle nous rejoint vêtue dune minirobe blanche sans sous-vêtement. Nous montons en voiture Élise et Mac à larrière je conduis. Dans le rétroviseur je peux voir les amants se caresser tendrement et sembrasser à pleine bouche.
Arrivé à destination Mac descend :
«La putain je tattends et toi lopette ferme la voiture et suis nous ».
Nous rentrons dans la garçonnière Carl est déjà là il passe la main sous la robe dÉlise: «Salut Mac, bonjour la pute je vois que tu mouille déjà ! Lopette va aider Noëlle dans la cuisine. »
Je mapproche et vois de dos une femme mince cheveux noirs mi- longs frisés. Sa robe en satin bleu motif à fleurs est longue mais fendue de chaque côté, elle est perchée sur des hauts talons. Lorsquelle se tourne vers moi japerçois le bas de soie tenu par des jarretelles, un visage teint mat, fin, typé métis, des yeux légèrement bridés finement maquillés.
Je lui dis « bonjour je mappelle Alan » elle membrasse je prends le plateau préparé et lamène sur la table.
Mac : « ma pute je te présente Noëlle roules lui une pelle et tu la caresses. »
Elise embrasse la fille, passe ses mains sous la robe et lui caresse les fesses
Lui : « caresse devant salope » ce que fait mon épouse qui surprise découvre une queue sous la robe.
« Je te présente noël(le) qui est un raerae elle va participer ce soir ! cest elle qui a préparé cet apéro dinatoire. La lopette fera le service pendant que nous te baiserons»
Ayant compris le message je fais le service en gardant un il sur les activités des autres.
Élise est mise nue avant davoir vidé son verre. Elle est pliée la tête sur le bas ventre de Mac, Noëlle lui lèche lillet alors que Carl fouille sa chatte.
Après sêtre dévêtus Les quatre se déplacent sur le lit. Elise embrasse Noëlle sur la bouche Carl sodomise ma femme et Mac est branlé par Noëlle. Les bouches se séparent.
« Ma pute vient me sucer! Noëlle va sucer Alan! »
Noëlle sapproche de moi baisse mon pantalon et commence à sucer ma petite queue raide. Sa bouche diabolique vient rapidement à bout de ma résistance et ne perd rien mon sperme. Elle avale tout et se dirige vers le lit pour embrasser mon épouse lui transmettre le gout de ma semence.
Sur le lit « Mac ! Je gicle dans le cul de ta pute cette fois cest moi qui fait le passage et le graissage »
Mac se met sur le dos : « la pute viens tassoir sur mon chibre encule toi toute seule ! Noëlle si tu veux lui bouffer la chatte profite en.
Ma moitié monte et descend seule sur la tige plantée dans son illet tandis que Noëlle lui lèche la moule. La bouche de la suceuse et le braquemard de Mac conduise rapidement Élise au 7ème ciel elle jouit bruyamment.
Carl : « lopette vient me sucer »
Je me place entre ses jambes, je commence à lécher les couilles puis je lèche la tige en remontant pour avaler le gland puis la tige toute entière.
Élise demande à Mac « baise-moi encore ! » sans hésiter il lui prend la chatte. Noëlle en profite pour se faire sucer
« Mac ! Tourne la pute quelle regarde sa lopette me pomper ! En plus il aime ça et suce plutôt bien »
Il jouit planté au fond de ma bouche je sens son jus couler dans au fond de ma gorge. Je lavale avec gourmandise
Mac : « pour te récompenser viens enculer Noëlle pendant quÉlise suce sa bite)
Nous commençons lui se placé entre les cuisses de mon épouse de son dard fouille le baveux. Et Carl place sa queue dans la bouche de Noëlle.
Je jouis le premier dans le cul de la dame à boule suivi par élise qui jouit sur la bite de Mac qui se vide en elle, cest au tour de Noëlle qui arrose le visage de mon épouse et de Carl qui abreuve Noëlle de sa liqueur.
Une petite pause et les hostilités reprennent Mac trouve un jeu :
« Nous allons enfiler ma pute à tour de rôle jusquà ce quelle jouisse ! Pour commencer je prends sa bouche, Noëlle le cul, Carl la chatte, Alan tu siffles nous on tourne »
Après quatre tours Élise grimpe aux rideaux longuement et bruyamment. Les trois bites giclent dans les trous de la dissolue.
Carl : «elle est un peu nymphomane la pute»
Il est déjà 1h. Tout le monde passe sous la douche et cest lheure du départ. Une bise à tous et je ramène Mac et mon épouse à la maison. « Alan à compter daujourdhui je reste lamant de la choune avec le respect que vous méritez. Il ny aura plus dautre partenaire. »
La baby-sitter nous attendait je la paie et la libère.
Mac est resté avec nous et le reste de la nuit avec douceur il baisé mon épouse lui a procuré plusieurs orgasmes. Au matin il a cuisiné les crustacés et sest montré charmant avec la famille.
Il vient régulièrement passer la journée ou la nuit avec nous et souvent avec un petit cadeau. Jusquà notre départ fin 1985 il est resté lamant tendre attentionné et respectueux dÉlise.
Il aimait mon épouse. Il lui a demandé de rester sur lile. Elle a décliné
Il nous a accompagnés à laéroport pour notre retour en métropole
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